Les résultats de l'analyse institutionnelle réalisée à son endroit ont été restitués hier matin par Seni Kouanda, expert international, au cours d'un atelier au Sénat.
RENDRE la Direction nationale de la santé maternelle et infantile (DNSMI) plus efficace et plus opérationnelle dans les missions qui lui sont assignées.
C'est la raison pour laquelle une analyse de son fonctionnement structurel et institutionnel a été diligentée par le ministère de la Santé, avec l'appui technique et financier de l'OMS (Organisation mondiale de la santé).
Dans ses travaux de recherche, Seni Kouanda a mentionné plusieurs faiblesses : l'absence d'une vision claire, d'un organigramme, d'un plan de travail, des infrastructures, de même que la logistique et les ressources humaines sont inadéquates.
Aussi, ce dernier recommande, entre autres, une réorganisation de la DNSMI avec l'existant. Si possible en trois services techniques pour maximiser l'efficacité : la santé maternelle et infantile, la santé sexuelle de la reproduction, le suivi, l'évaluation et la recherche.