Une fois le Baccalauréat en poche, les élèves se tournent de plus en plus, de nos jours, vers les établissements supérieurs à vocation qualifiante. Une situation qu'ils justifient par la recherche d'outils efficaces et capables de les aider à mieux se défendre sur le marché de l'emploi.
Ils sont des milliers chaque année à se tourner vers les grandes écoles et les instituts supérieurs de formation professionnelle, une fois le Baccalauréat en poche.
La raison, selon eux, est à chercher dans les outils efficaces qu'ils mettent entre leurs mains pour mieux se défendre sur le marché de l'emploi. L'autre avantage, de l'avis de plusieurs autres élèves et étudiants, est de savoir que la plupart de ces institutions universitaires sont jumelées aux structures sœurs des villes françaises. Le dernier facteur à l'origine de cette ruée vers les écoles et instituts supérieurs est à rechercher dans les récurrentes crises enregistrées à l'université Omar Bongo (UOB). La plus grande université du pays n'offrant plus la garantie d'une année académique sans interruption, les étudiants et futurs bacheliers ont vite fait d'opter pour d'autres alternatives, beaucoup plus sécurisantes.