Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Gabon    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article




  Sondage



 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

Véhicules d’occasion: Embargo sur plus de 1000 véhicules de plus trois ans parqués au port d’Owendo
Publié le mercredi 27 aout 2014   |  Gaboneco


Sensibilisation
© Autre presse par DR
Sensibilisation sur l’interdiction d’importation des véhicules de plus de 3 ans


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier

Dans la droite ligne des sanctions prises mercredi 20 août 2014 par le gouvernement en conseil des ministres contre le directeur général des Transports terrestres et son adjoint 2, le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Bilie Bi Nzé, qui a confirmé la position des plus hautes autorités a indiqué que les véhicules parqués au port d'Owendo ne pourront pas circuler sur le territoire gabonais conformément à l'arrêté n°0002707/ Mpitpthtat/Meedd.

Plus de 1000 véhicules d'occasion en provenance d'Europe et parqués depuis plusieurs jours au port d'Owendo ne pourront pas circuler sur le territoire gabonais.

Ces véhicules datant de plus trois ans auraient été importés en violation de l'arrêté n° 0002707/ Mpitpthtat/Meedd du 23 septembre 2013 qui interdit toute circulation au Gabon des voitures vieilles de plus de trois ans.

Face à la presse la semaine dernière, le porte-parole de la présidence de la République, Alain-Claude Bilie Bi Nzé, a réaffirmé la position du gouvernement à ce sujet et a évoqué l’hypothèse du renvoi ou de la destruction de ce millier de véhicules.

"Les véhicules importés dans ces conditions ne peuvent pas être mis en circulation. Soit, le gouvernement décidera de leur rapatriement, soit de les concasser. Dans tous les cas, les revendre sous-entend qu'ils seront en circulation. Et les mettre en circulation serait contradictoire. Le Chef de l'Etat a demandé au ministère des Transports en accord avec le ministère de l'Economie, de s'activer à rapatrier ces véhicules. Personne ne fera entrer ces voitures sur le territoire. Il n'y aura pas de dérogation sur ce sujet. Sinon, ça n'aurait servi à rien de limoger les directeurs en charge de ce dossier" a déclaré Alain Claude Bilie Bi Nzé.

Selon le porte-parole de la présidence de la République, l'éviction il y a quelques jours du directeur général des Transports terrestre et son adjoint 2 illustre la détermination du chef de l'Etat à faire appliquer la mesure et éviter toute violation. "C'est le signal en effet que les choses ne peuvent plus continuer comme avant et qu'on ne peut plus se permettre en toute impunité de violer la loi" a précisé Alain-Claude Bilie Bi Nzé.

 Commentaires