Aussi bien au sein du régime en place que dans l'opposition, plusieurs acteurs laissent planer leur inquiétude quant à l'affaire des fêtes tournantes et détournements des fonds publics. Au-délà de la peur de se faire épingler, sur fond de chantage, chacun semble aller de son latin pour ne pas s'astreindre à la justice.
Bonne gouvernance/Enquêtes financières
LES enquêtes financières, font déjà grincer les dents. Nombreux s'en émeuvent de la procédure, lancée il y a quelques semaines et qui voit défiler des personnalités des régies financières et patrons d'administration dans le cadre de la gestion scabreuse des fêtes tournantes et autres détournements des fonds publics.
Pourquoi crier aux loups alors que personne n'est encore jugé ? Les néo-opposants qui sont montés au front menace de saisir la justice internationale, et font le chantage d'avoir eux-aussi des '' dossiers ''.
Les auditions ayant débuté à la direction générale de la Recherche de la gendarmerie et à la Brigade économique et financière de la PJ vont se poursuivre et s'élargir à d'autres compatriotes.
Il a été rappelé que les auteurs de ces crimes et délits, portant atteinte aux droits humains, à l’épanouissement des populations et à l’établissement d’un cadre de vie propice au développement ou à la paix sociale, doivent être traduits en justice et punis avec la plus grande fermeté, conformément aux lois en vigueur dans notre pays.