Trop petits, les raffineurs du Cameroun, du Congo et du Gabon souffrent d'un manque de rentabilité. Mais loin de s'unir pour s'en sortir, ils optent pour une fuite en avant.
La Société nationale de raffinage (Sonara) peut dire merci au gouvernement camerounais. Depuis le 1er juillet, le prix des carburants à la pompe, gelé depuis six ans, a été réajusté, ce qui allège la pression sur ses finances. Mais la décision politique n'évacue pas le problème de solvabilité de l'unique raffinerie du pays.... suite de l'article sur Jeune Afrique