Le Premier Ministre gabonais, Daniel Ona Ondo a lancé, mardi 15 juillet à Libreville, les travaux de la première Assemblée Générale du Réseau des Organisations de la société civile pour l’économie verte en Afrique Centrale.
La première Assemblée générale du Réseau des Organisations de la société civile en Afrique centrale a été ouverte mardi 15 juillet, par le Premier Ministre gabonais, Daniel Ono Ondo.
Cette première rencontre a été organisée en vue de permettre au Réseau de faire assoir une politique en matière de développement en Afrique Centrale.
Un objectif soutenu par le Premier Ministre gabonais qui a reconnu l’intérêt de développer l’économie verte dans la sous région, invitant même les participants à s’approprier ce concept et à amener les gouvernements à en mesurer l’importance.
Toujours dans le même sens, Daniel Ona Ondo a invité le nouveau bureau exécutif une fois mis en place, à développer des actions économiques et écologiques pour booster l’économie de la sous région, et contribuer ainsi au bien être des populations.
Au programme de la rencontre, la mise en place du bureau exécutif, dont le mandat est fixé à trois ans, puis l’élaboration d’une feuille de route permettant de définir clairement les actions concrètes à mener sur le terrain.
Des discussions sur les statuts et règlements du Réseau, l’examen et l’adoption des possibilités offertes par le Fonds pour l’Economie Verte en Afrique Centrale (Fevac) sont également à l’ordre du jour.
Sur le plan socio-économique, l’Assemblée Générale va examiner les mécanismes du Fevac pour le financement des programmes de la société civile afin de parvenir à une contribution réelle de l’économie verte au développement économique des Etats, ainsi que la valorisation des savoir-faire traditionnels et l’amélioration des conditions de vie des populations.
Sur le plan environnemental, la rencontre va également passer au peigne fin les mécanismes de gouvernance sectorielle à mettre en place pour concilier développement économique de l’Afrique centrale et protection de l’environnement pour un développement humain durable.