Selon son avocat, l’ancien chef de l’Etat, qui vit toujours reclus dans sa résidence privée du quartier huppé de la Sablière, dans le nord de Libreville, prend cette initiative pour dénoncer le sort réservé à son épouse et à leur fils. Malades, ces derniers sont toujours en prison, sans avoir accès aux soins requis par leur état de santé. Après 17 mois de détention, Sylvia et Noureddin Bongo ont reçu la visite médicale d’un médecin qui a dressé un rapport accablant.... suite de l'article sur RFI