Libreville - Après plusieurs mois de tractations ça y est, le ministre gabonais de l’Economie, Christophe Akagha Mba et le représentant résident de la Banque africaine de développement (BAD), Ali Lamine Zeine, ont paraphé vendredi à Libreville un accord pour un financement de 53 milliards de FCFA qui permettra de construire 49 km d’une route conduisant vers le Congo Brazzaville, selon une source officielle.
L’enveloppe permettra notamment de bitumer la route Ndéndé-Doussala (49 km). Ce tronçon sera connecté à la route Ngongo – Dolisie (Congo) longue de 223 km. La BAD apportera également une partie du financement du tronçon congolais.
L’apport total de la BAD est estimé à 160 milliards de FCFA pour couvrir les deux tronçons Ndéndé-Doussala (Gabon) et Ngongo-Dolisie (Congo).
La route Ndéndé-Doussala-Dolisie tant attendue par les usagers, facilitera les échanges commerciaux et la libre circulation des populations des deux pays. Sa construction intègre les projets du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD). L’ambition du NEPAD est de relier toutes les capitales d’Afrique centrale par une route bitumée.
Actuellement, seul Yaoundé (Cameroun) et Libreville (Gabon) sont joignables par une route bitumée. C’est grâce à un financement de l’Union européenne (UE), rappelle-t-on.
L’enveloppe permettra notamment de bitumer la route Ndéndé-Doussala (49 km). Ce tronçon sera connecté à la route Ngongo – Dolisie (Congo) longue de 223 km. La BAD apportera également une partie du financement du tronçon congolais.
L’apport total de la BAD est estimé à 160 milliards de FCFA pour couvrir les deux tronçons Ndéndé-Doussala (Gabon) et Ngongo-Dolisie (Congo).
La route Ndéndé-Doussala-Dolisie tant attendue par les usagers, facilitera les échanges commerciaux et la libre circulation des populations des deux pays. Sa construction intègre les projets du Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD). L’ambition du NEPAD est de relier toutes les capitales d’Afrique centrale par une route bitumée.
Actuellement, seul Yaoundé (Cameroun) et Libreville (Gabon) sont joignables par une route bitumée. C’est grâce à un financement de l’Union européenne (UE), rappelle-t-on.