Le capital de la Banque de Développement des Etats de l’Afrique Centrale (BDEAC) va passer de 250 à 1.200 milliards. C’est ce que stipule un communiqué rendu public en fin de semaine dernière.
La BDEAC dont les ressources ne correspondaient plus aux ambitions de développement de la sous-région CEMAC espère pouvoir répondre aux attentes de ses membres.
Ce sont les domaines agricoles, avicoles et sylvicoles qui devraient bénéficier les premiers de la hausse du capital de cette institution qui a son siège à Brazzaville.
Selon Michaël Adandé, président de la BDEAC, l’institution bancaire est disposée à financer la reconstruction de la République Centrafricaine. Elle devrait s’investir prioritairement dans les infrastructures routières, ferroviaires et énergétiques.