Troisième vice-président du Sénat de la Transition, figure emblématique de la Société civile gabonaise, Marc Ona Essangui estime qu’il faut atténuer le pouvoir du président avec des contre-pouvoirs. S’exprimant mardi sur RFI, il dénonce l’«hyper-présidentialisation» née des recommandations du dernier Dialogue national inclusif (DNI) qui préconise un régime présidentiel au Gabon. L’ancien activiste craint que le futur chef de l’État et son gouvernement puissent échapper à tout contrôle parlementaire.
Troisième vice-président du Sénat de la Transition, figure emblématique de la Société civile gabonaise, Marc Ona Essangui estime qu’il faut atténuer le pouvoir du président avec des contre-pouvoirs. S’exprimant mardi sur RFI, il dénonce l’«hyper-présidentialisation» née des recommandations du dernier Dialogue national inclusif (DNI) qui préconise un régime présidentiel au Gabon. L’ancien activiste craint que le futur chef de l’État et son gouvernement puissent échapper à tout contrôle parlementaire.