Le rapport souligne que les sociétés de sécurité et russes et chinoises n’ont pas les mêmes approches. Là où les premières privilégient des environnements instables pour assurer la sécurité de certains régimes et mener des campagnes d’influence, les secondes évitent de s’implanter dans des zones à risques, en raison notamment de leur manque d’expérience en matière de conflit.... suite de l'article sur Autre presse