Le gouvernement gabonais a répondu à la plainte déposée par les avocats de la famille, qui dénoncent « l’arrestation illégale », la « séquestration aggravée par des actes de tortures » et des « actes de barbarie » à l’encontre de Sylvia Bongo et de son fils Noureddin Bongo-Valentin.
Le gouvernement gabonais réfute toute « forme de torture ou de mauvais traitement » envers la famille de l’ex-président Ali Bongo Ondimba et affirme que celui-ci est libre de quitter le pays, en réponse à une plainte déposée en France par les avocats de la famille.... suite de l'article sur Jeune Afrique