Samedi, à l’issue du dialogue national censé réformer le pays en profondeur, les panélistes ont demandé la suspension de tous les partis politiques, soit plus d’une centaine. En plus, les leaders du PDG, l’ancienne formation au pouvoir, seront inéligibles pendant trois ans. Cette mesure qui est pour l’instant une recommandation, suscite la polémique au sein des différentes formations politiques.