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Vœux 2024 au président de la Transition : les employeurs au strict respect du Code du travail
Publié le vendredi 5 janvier 2024  |  Agence Gabonaise de Presse
Joël
© Autre presse par DR
Joël Ondo Ella, le président de la confédération syndicale des agents publics et parapublics
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Libreville – La cérémonie solennelle de présentation des vœux 2024 au président de la Transition, chef de l’Etat, le Général de Brigade, Brice Clotaire Oligui Nguéma, a permis au président de la confédération syndicale des agents publics et parapublics, Joël Ondo Ella, de s’appesantir sur la situation de certains employeurs qui, selon lui, foulent aux pieds, ledit Code, a-t-on constaté.

Le président de la confédération syndicale des agents publics et parapublics a appelé ces derniers à mettre en application le Code du travail en vigueur en République Gabonaise, eu égard aux manquements constatés dans ce domaine. En témoigne, les récents mouvements d’humeur observés ici et là dans le Grand Libreville, voire à l’intérieur du pays. Concrètement dans la Zone d’investissement spéciale (ZIS) de Nkok, située à plus d’une vingtaine de km de Libreville.

Regroupés au sein d’un collectif dénommé «Coopérative des Travailleurs de la Zone Economique de Nkok (CTZEN), les travailleurs de cette Zone ont observé un mouvement d’humeur en septembre dernier, afin de revendiquer de meilleures conditions de travail.

Il s’est également s’agi de mener conjointement les actions relatives à la réalisation d’un audit par un cabinet indépendant de la situation des travailleurs au sein de ladite Zone. Il était également question de la mise en demeure de 14 sociétés pour régularisation de leur situation, accompagnée de contrôles et pénalités en vue de régularisation des situations illégales, entre autres.

Au rang de ces mouvements d’humeur, s’inscrivait la grève observée dans le même temps par les employés de l’aéroport international de Libreville (ADL) dont les revendications portaient essentiellement sur la rupture du contrat avec GSEZ ; la démission de la Direction des ressources humaines (DRH) quoique Gabonaise, puis le retrait des Indiens jugés incompétents à diriger un aéroport international tel que celui de Libreville.
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