Marc Ona Essangui, secrétaire exécutif de l’ONG Brainforest et troisième vice-président du Sénat de la transition gabonaise, revient sur le coup d'État du 30 août qui a renversé le président Ali Bongo, ainsi que sur la période de transition voulue par l'armée avant l'organisation d'élections libres. Il se dit "rassuré" par les premières prises de paroles du président proclamé, le général Brice Oligui Nguema, et de son équipe.... suite de l'article sur France 24