L’ancien footballeur international a été promu à cette fonction, mercredi, en remplacement de l’activiste vivant en France, Stéphane Zeng, précédemment nommé à ce poste, mais qui semble avoir décliné l’offre.
La nomination de l’ancien capitaine des Panthères a été bien accueillie dans les milieux sportifs gabonais. Tant l’homme a toujours été perçu dans l’opinion comme un réformiste. Son désir de diriger la Ligue de football de l’Estuaire (LFE) était d’ailleurs un pas supplémentaire dans sa quête à faire bouger les lignes. Nul doute que ses prises de positions, parfois très tranchées autant sur la sélection nationale du Gabon, devenue au fil du temps un grand « bazar », que sur d’autres disciplines, ont également motivé les membres du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) à jeter leurs dévolus sur ce dernier. Lequel n’a d’ailleurs pas négligé le rôle très important qu’il aura à jouer.
« Nous sommes dans un contexte de restauration des institutions du pays. Le pays aborde donc un tournant important et je reste convaincu qu’il y aura des grands défis et je dis au président de la République de pouvoir compter sur mon expérience, mon dynamisme et mon dévouement, a-t-il indiqué chez nos confrères de Gabonallsport.com.