Le rideau est tombé sur les 9èmes Sambas professionnels le samedi 1er juillet à Libreville. Pour terminer en beauté cette édition qui marque les 10 ans d’existence de ce séminaire d’échanges de compétences, un diner de gala de gratitude a été donné dans la soirée du côté de La Sablière. Partenaires, coaches, médias et ambassadeurs ont été récompensés avec les prix Pape Diouf et Amobe Mevegue.
15 prix Amobe Mevegue et 18 prix Pape Diouf ont été distribués le samedi 1er juillet 2023 lors du diner de gala de gratitude marquant les 10 ans d’existence des Sambas professionnels, séminaire d’échange de compétences. Ces prix récompensent les médias, les mécènes, les institutions et toutes ces entreprises ayant porté et accompagné cette initiative durant ces années.
« C’est un gala que nous avons voulu vraiment spécial pour marquer nos 10 ans d’existence, même si nous sommes à la 9e édition. Pendant ce gala, il y a des prix qui récompensent un peu les personnes qui nous ont porté. Il y a le Prix Pape Diouf qui récompense toutes ces personnes, ces mécènes et entreprises qui nous ont accompagné tout au long de ces 10 ans et il y a le Prix Amobe Mevegue, le prix de l’Espoir, cet espoir qui nous permet de sortir de l’ombre vers la lumière », a confié Josiane Maténé Ogoula, promotrice des Sambas professionnels.
Selon une tradition des Sambas professionnels, le parrain de la prochaine édition est annoncé à l’issue de chaque édition. En ce sens, Sylvere Boussamba, fondateur et président d’Ogooué Labs, de Start X 241 et co-fondateur Digitech Africa, a été désigné pour porter la 10ème édition. « Il nous accompagne depuis 7 ans. Il a porté ce projet et il y croit. Nous estimons que pour marquer les 10 ans de présence des Sambas sur le Gabon, il n’y a pas mieux que lui », a clamé Josiane Maténé Ogoula.
Un immense honneur selon le futur parrain, se référant à tous les précédents parrains. « C’est des gens qui ont une dimension internationale. On parle de Pape Diouf, Amobe Mevegue. Je n’ai pas de mots en fait. Être mis au même niveau, j’ai du mal à l’accepter moi-même », a affirmé Sylvere Boussamba. Mis sur le fait accompli, il assure devoir prendre ses responsabilités parce que certaines personnes qui lui sont chères ont pensé qu’il pouvait assumer ce rôle. « J’avais certainement quelque chose qu’ils ont vu en moi pour pouvoir le faire. Alors on va travailler à la prochaine édition et je sais qu’ils vont me soutenir, me donner du support pour qu’on arrive à faire de cette prochaine édition une plus belle édition que tout ce qu’on a déjà fait », soutenu l’avant-gardiste, social entrepreneur et promoteur des nouvelles technologies de la communication au Gabon.
La 9e édition avait pour parrain le docteur Massamba Gueye. Elle comptait 6 ateliers thématiques environ, tournant au tour de l’audiovisuel, du journalisme, du numérique, de la communication, du développement personnel, du leadership, de la culture, et des industries culturelles et créatives. Plus de 250 personnes auront participé à cette édition ayant duré 6 jours au Complexe scolaire privé Michel Dirat de Libreville.