En marge du Sommet États-Unis-Afrique qui s’est ouvert ce mardi 13 décembre à Washington, le président gabonais, qui prenait part à la cérémonie organisée par l’International Conservation Caucus Foundation (ICCF), a une nouvelle fois invité les leaders mondiaux à «s’unir pour éradiquer la criminalité liée aux espèces sauvages et améliorer la gestion des forêts».
À l’instar de la cinquantaine de chefs d’État du continent invités par l’administration américaine, Ali Bongo prend part depuis ce mardi 13 jusqu’au jeudi 15 décembre prochain à la 2e édition du Sommet États-Unis-Afrique. A Washington où il a pris la parole lors de la cérémonie organisée par l’International Conservation Caucus Foundation (ICCF) en marge du Sommet Etats-Unis/Afrique, le président gabonais s’est particulièrement appesanti sur la question environnementale, notamment sur sa gouvernance en Afrique. Et selon lui, «il existe un lien évident entre la gouvernance environnementale et la prospérité économique en Afrique».
Aussi, invite-t-il toutes les nations à «s’unir pour éradiquer la criminalité liée aux espèces sauvages et améliorer la gestion des forêts». Le leader gabonais estime en effet qu’«un investissement dans la conservation est un investissement dans la paix et la sécurité».
Le Sommet États-Unis-Afrique qui se tient actuellement à l’initiative de Joe Biden n’avait plus eu lieu depuis 8 ans. La première et dernière édition avait été organisée par l’ancien président américain Barack Obama.