Ce lundi 12 décembre l’opposition gabonaise et la société civile étaient en concertation en prélude à la préparation des prochaines échéances électorales. Occasion pour les partis politiques de ce bord politique, les personnalités politique indépendante et la société civile engagé pour le changement d’inviter les pouvoirs publics à ouvrir une concertation sur la révision du Code électoral.
C’est en présence de nombreux ténor de l’opposition notamment le président du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), Alexandre Barro Chambrier, du président d’honneur des Démocrates Séraphin Akure Davain, du président de Réagir François Ndong Obiang, du président de l’Union pour la nouvelle République Louis Gaston Mayila, du Parti social démocrate (PSD) Pierre Claver Maganga Moussavou et de bien d’autres leaders que la présidente de l’UN a livré les conclusions de cette rencontre.
Ainsi, lors de sa déclaration Paulette Missambo a égrainé les principales conclusions de cette concertation qui se tient à quelques mois des prochaines échéances électorales. Une rencontre qui a permis d’évoquer les questions relatives au processus électoral doit être mieux appréhender afin d’arriver à des élections libres et transparentes.Au nombre des exigences soulevées par l’opposition et la société civile on peut citer entre autres « la mise à disposition sans délai des cartes d’identités nationales avant le lancement du processus d’inscription sur les listes électorales ».
« Par ailleurs, le gouvernement est appelé à déclencher le processus de renouvellement du Centre gabonais des élections. Enfin les partis politiques de l’opposition, les personnalités politique indépendante et la société civile engagé pour le changement invite l’exécutif et son gouvernement à lancer une large concertation de la classe politique pour pour la révision du Code électoral conformément à l’engagement pris par le ministre de l’Intérieur », a lancé Paulette Missambo.