Abu Dhabi - La première édition du Congrès mondial des médias a pris fin jeudi soir avec le débat sur les questions liées à l’autonomisation des jeunes dans le secteur des médias et le rôle de la femme dans cette industrie, a constaté une journaliste de l’AGP sur place.
La question du capital humain dans l’industrie de la communication et des médias, a constitué l’un des points marquant de la clôture de ces assises. Pour les organisateurs de cet évènement des professionnels des médias, le capital humain constitue un facteur très important dans ce secteur. C’est en ce sens qu’ils ont encouragé à investir sur l’autonomisation des jeunes qui représentent la relève et l’avenir de cette industrie.
« Nous devons intégrer la branche jeune qui symbolise de nos jours les avancées technologiques dans la création de contenus médiatiques », a déclaré le ministre de l’information bahreïni Ramzan Ben Abdullah Al Nuaimi.
Selon lui, la prise en compte de l’apport des jeunes, qui sont « à la pointe de l’intelligence artificielle », devrait permettre de mieux suivre « le changement évolutif » que connait le secteur des médias et avoir « les meilleurs scénarios possibles pour les investissements sur l’industrie médiatique ».
Aussi, ces échanges ont-ils également porté sur le thème de la diversité et de l’inclusion à l’époque du numérique, notamment le rôle de la femme dans les médias et la transformation numérique des médias.
Ce congrès qui a débuté le 14 novembre, à Abu Dhabi, aux Émirats arabes Unis, a vu la participation de plus de 1200 professionnels, experts des médias venus de nombreux pays dont, près de 170 Agences médiatiques représentant 29 pays.