Depuis ce lundi 14 novembre 2022, la Première dame du Gabon, Sylvia Bongo Ondimba séjourne à Tachkent en Ouzbékistan où elle prend part à la Conférence mondiale de l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) sur l’éducation et la protection de la petite enfance. A cette occasion, elle réaffirmera l’engagement de sa fondation à œuvrer pour le bien-être des enfants.
Prévue se tenir du 14 au 16 novembre 2022, à Tachkent, en Ouzbékistan, la Conférence mondiale de l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture est une rencontre intergouvernementale organisée par l’UNESCO placée sous le thème: ‹‹ Un investissement précoce pour un meilleur apprentissage et un avenir plus brillant ››. Elle vise à accroître la dynamique politique autour de la protection et de l’éducation de la petite enfance en appelant les gouvernements et leurs partenaires du monde entier à renouveler leurs engagements en faveur de l’EPPE.
Présente à ces assises qui réunit plus de 1500 participants, la présidente de la Fondation Sylvia Bongo Ondimba participera à un panel de haut niveau avec d’autres leaders mondiaux. Occasion pour la Première dame qui était accompagnée pour l’occasion par la ministre de l’Education nationale Camélia Ntoutoume Leclercq de réaffirmer le droit, de chaque enfant et dès le plus jeune âge, d’avoir accès à des soins et à une éducation de qualité.
Lors de son intervention à la tribune de cette conférence internationale, Sylvia Bongo Ondimba a rappelé non seulement les efforts consentis par le gouvernement gabonais en faveur de l’éducation de la petite enfance, mais surtout les actions menées par sa fondation dans ce domaine. ‹‹ Depuis 2013, nous avons mis un point d’honneur à favoriser l’épanouissement des plus jeunes afin que les conditions économiques, sociales et même la situation de handicap ne constituent plus un frein à leur développement intellectuel et affectif ››, a-t-elle indiqué.