Les conseillers ont voté, hier, et à l'unanimité, la délibération autorisant le maire à négocier et à signer un accord de partenariat avec le gouvernement pour la prise en compte de la dette de la mairie. Ce qui n'est pas le cas pour le texte relatif à la réorganisation des services de l'hôtel de ville pour lequel 11 conseillers ont voté contre.
LA session extraordinaire du conseil municipal de Libreville a clos hier ses travaux à l'hôtel de ville. Présidée par l'édile de la capitale, Rose Christiane Ossouka Raponda, cette rencontre a permis aux conseillers d'examiner, entre autres, le projet d'arrêté portant réorganisation à titre transitoire les services municipaux, le projet de délibération autorisant le maire à négocier et à signer un accord de partenariat avec le gouvernement pour la prise en compte de la dette de la mairie.
Au titre de la réorganisation des services municipaux, le rapport établi, au nom du conseil municipal, par la commission des Affaires administratives et juridiques, mise en place pour cette circonstance, a relevé plusieurs facteurs relatifs aux dysfonctionnements et à la non-maîtrise des ressources humaines.