Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Santé
Article
Santé

Gabon: Guy Patrick Obiang Ndong fustige la lourdeur administrative dans la procédure d’adoption
Publié le mercredi 27 avril 2022  |  Gabon Media Time
Dr
© Gabon Review par DR
Dr Guy Patrick Obiang Ndong, ministre de la Santé
Comment


Le ministre de la Santé et des Affaires sociales, Dr. Guy Patrick Obiang Ndong, assisté de sa déléguée, Justine Libimbi épouse Mihindou, a reçu le 22 avril 2022, les responsables des centres d’accueil qui œuvrent pour la protection des enfants en difficulté au Gabon. C’était en présence du directeur général des Affaires sociales.

Cette séance de travail a permis au ministre de la Santé et des Affaires sociales d’être au fait du fonctionnement des maisons d’accueil des enfants orphelins et en difficulté sociale. C’était notamment l’occasion pour le membre du gouvernement et sa déléguée de relever certaines difficultés relatives à la procédure d’adoption au Gabon, auxquelles sont notamment confrontés les responsables des centres d’accueil.

En effet, selon les recommandations du Code de l’enfant au Gabon, l’enfant placé dans un centre d’accueil ne doit pas excéder trois mois en pensionnat. Ce dernier doit être adopté par une famille passé ce délais. Seulement dans les faits, la réalité est autre. Le ministre de la Santé pointe du doigt et fustige le manque de célérité dans les procédures administratives. « Nous fustigeons la lourdeur de la procédure d’adoption dans ces structures compte tenu de l’accumulation de plusieurs dossiers de demande d’adoption privant ainsi ces enfants d’amour et d’affection », a-t-on pu lire via le communiqué émanant du ministère en charge des Affaires sociales parvenu à Gabon Media Time.

Pour y remédier, le membre du gouvernement envisage la mise en place d’une commission ad hoc. Les travaux de cette commission devraient porter sur la liquidation des dossiers de demande d’adoption en attente de traitement, le vide juridique des centres d’accueil, entre autres.
Commentaires


Comment