Une fouille inopinée à la prison centrale de Libreville, le 31 mars dernier, a permis la saisie de plusieurs objets prohibés en milieu carcéral dont 500 téléphones portables, drogues dures, boissons alcoolisées et paquets de cigarettes. Si ces produits ont tous été détruits le 8 avril, leur présence témoigne de la perméabilité du pénitencier de Gros-Bouquet.
Une fouille inopinée à la prison centrale de Libreville, le 31 mars dernier, a permis la saisie de plusieurs objets prohibés en milieu carcéral dont 500 téléphones portables, drogues dures, boissons alcoolisées et paquets de cigarettes. Si ces produits ont tous été détruits le 8 avril, leur présence témoigne de la perméabilité du pénitencier de Gros-Bouquet.