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Paix sociale au Gabon : Le Salon de la femme lance le Parlement rose
Publié le lundi 4 avril 2022  |  Gabon Review
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© Autre presse par DR
Paix sociale au Gabon : Le Salon de la femme lance le Parlement rose
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Le Salon de la femme a lancé, le 2 avril à Akanda, le Parlement rose. Il s’agit d’un cadre d’échanges permettant «aux femmes et aux hommes de discuter des questions qui font mal et menacent la paix sociale».

Le Gabon dispose désormais d’un cadre d’échanges de plus visant à garantir la paix sociale. Il s’agit du Parlement rose, qui a officiellement été lancé par le Salon de femme, le 2 avril à Akanda. «Nous faisons notre entrée de façon glorieuse et intéressante dans le Parlement rose que nous avons voulu instituer, pour permettre aux femmes et aux hommes de discuter des questions qui font mal et menacent la paix sociale», a déclaré la présidente de l’association engagée dans l’autonomisation de la femme.

«Et notre objectif est de tenir sous peu, d’autres sessions pour former, informer et formuler des recommandations pour les décideurs ; parce que nous aspirons à un pays de paix par rapport aux sécurités judiciaire et juridique des actes de la vie», a ajouté Sidonie Flore Ouwé. La session inaugurale du Parlement rose a porté sur le thème ‘’Comment accéder à la succession et en un jour ?’’. «Nous avons eu plus de 300 personnes intéressées et la pertinence des questions nous a permis de considérer que le message est passé, puisque toutes les questions n’étaient pas hors sujet. Bien au contraire, elles rentraient dans le cadre de ce que les autres professionnels du droit et moi avons donné comme information, à propos de la procédure de succession au niveau du Gabon», s’est réjouie la présidente du Salon de la femme.

Dans le cas d’espèce, l’accent a été mis sur l’Agence nationale de l’urbanisme, des travaux topographiques et du cadastre (ANUTTC), «qui doit en fait aider les notaires et les juridictions pour que les individus, de leur vivant, entrent en possession des titres fonciers pour transmettre leurs droits aux héritiers. Car, on ne peut pas transmettre un droit qu’on ne possède pas», a conclu Sidonie Flore Ouwé.
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