Libérer le potentiel de la jeunesse et des femmes en vue de rendre plus efficients, plus inclusifs, résilients et durables les systèmes alimentaires des États de l’Afrique centrale, c’est l’ambition que l’Organisation pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), à travers l’équipe multidisciplinaire de son bureau sous-régional, entend présenter aux participants des travaux prévus du 28 février au 2 mars prochain. Les présidents des parlements des différents États membres y prendront part.
Organisée sous le format dit hybride, donc en présentiel et par visioconférence compte tenu du contexte sanitaire actuel, la 14e Réunion de l’équipe multidisciplinaire du bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique centrale aura lieu du 28 février au 2 mars prochain. L’annonce a été faite ce jeudi 24 février à Libreville par Hélder Muteia, qui a précisé qu’une centaine de participants y prendront part parmi lesquels les ministres en charge de l’Agriculture, de l’Élevage et de l’Alimentation ainsi que les présidents des Parlements des différents États membres et le président de la commission de la CEEAC.
Le thème retenu pour cette édition : «Libérer le potentiel de la jeunesse et des femmes pour rendre les systèmes alimentaires plus efficients, inclusifs, résilients et durables en Afrique centrale.»
«Ce sera l’occasion de revoir les nouveaux enjeux, d’explorer les opportunités de partenariats et de mobilisation des ressources. Le point central est de relever avec nos partenaires les défis de la mobilisation et d’habilitation des jeunes et des femmes de l’Afrique centrale dans l’agriculture afin de mieux adapter et accompagner les transformations des systèmes alimentaires», a expliqué le coordonnateur du bureau sous-régional et Représentant de la FAO au Gabon.
Faisant intervenir les représentants de 8 pays de l’Afrique centrale, la Réunion de l’équipe multidisciplinaire du bureau sous-régional de la FAO est présentée comme «un cadre approprié d’échanges et de consultation entre le bureau sous-régional et le bureau pays d’une part et entre la FAO, les gouvernements, les communautés économiques régionales et les institutions spécialisées, les partenaires techniques et financiers, la société civile et le secteur privé d’autre part».