C’est par le biais d’un communiqué de presse parvenu à la rédaction de Gabon Media Time que l’annonce a été faite. Initialement prévues pour se tenir du 24 au 25 février prochain, les premières Assises Africaines de la cybersécurité (AAC) à Libreville auront finalement lieu au mois d’avril 2022. Lesquelles permettront à l’ensemble des acteurs de la cybersécurité africains et internationaux, d’édifier les décideurs publics et privés sur les enjeux stratégiques des pays africains dans ce secteur clé du numérique.
Prévues pour se tenir du 24 au 25 février 2022 à Libreville, les Assises Africaines de la Cybersécurité organisées soutenues par le ministère de la Communication et de l’économie numérique, sont reportées pour le mois d’avril 2022 dans la capitale gabonaise. Une situation consécutive au prolongement de l’état d’urgence sanitaire dû au covid19 annoncé lors du conseil des ministres du 1er février 2022.
Un report que regrettent les organisateurs mais qui donne aux potentiels participants l’occasion de s’inscrire selon la procédure mise en place. Ainsi, les personnes désireuses d’assister aux Assises Africaines de la Cybersécurité pourront procéder à leur inscription via la plateforme de l’événement www.lesassisesafricaines-cybersecurite.com.
Source d’enjeux à la fois économiques, politiques et géopolitiques, la cybersécurité constitue l’un des principaux défis des pays africains désireux d’être en phase avec leur temps. C’est fort de ce constat que l’Afrique s’oriente vers la matérialisation d’une approche commune à la fois en termes de perception et d’objectifs. A cet effet, les acteurs dudit secteur seront présents à Libreville du 24 au 25 février prochain dans le cadre des Assises Africaines de la cybersécurité (AAC).
Placées sous le thème « La cyber résilience des entreprises et des Etats », ces rencontres organisées grâce au soutien du CESIA, de la Société d’Incubation Numérique du Gabon (SING) et la Chambre de Commerce de Libreville seront l’occasion d’aborder de manière efficiente les problématiques liées au nuérique. Elles seront, de ce fait, marquées par des échanges de haut niveau sur les débats africains en matière de sécurité et souveraineté numérique. Mais aussi par l’organisation de tables rondes et un concours de hacking visant à contribuer à la formation de jeunes afin d’identifier des talents pour les entreprises locales.