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Art et Culture

Préservation de la culture noire : Pour sa 2e édition, Black History Arts se radine en février
Publié le mardi 11 janvier 2022  |  Gabon Review
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© Gabon Review par DR
Préservation de la culture noire : Pour sa 2e édition, Black History Arts se radine en février
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Après l’édition 2021 ayant eu pour marraine Annie Flore Batchiellilys l’association Slam master organise en février prochain, la 2e édition du festival Black history arts. Sous le thème ‘’Nègre avec attitude’’, cette édition aura pour marraine Justine Mintsa.

Marquant, tout au long du mois de février, les commémorations de l’histoire des cultures et arts et noirs depuis 1976 aux Etats-Unis, l’esprit du Black history month s’invite une fois de plus au Gabon via le festival Black history arts. «Initiative inédite pour la valorisation de notre patrimoine culturelle et artistique», l’évènement est organisé par l’association Slam master dont les membres précisent : «La Black history arts vise à donner une place à la valeur de l’art en établissant un lien historique pour la préservation de la culture noire».

Après la 1e édition en 2021 ayant eu pour marraine l’artiste Annie Flore Batchiellilys, la 2e édition, cette année, aura pour marraine l’écrivaine Justine Mintsa et pour thème ‘’Nègre avec attitude’’. La Black history arts, souligne Slam master, «est le fruit d’une collaboration bénévole de l’association Slam Master avec une pléthore d’artistes». Notamment, des écrivains, chanteurs, rappeurs, slameurs, peintres, dessinateurs, infographes, animateurs, stylistes gabonais dont Justine Mintsa, Michel Ndaot, Franck Baponga, African Legend, Macy Ilema, Matamba Kombila et bien plus.

Au programme de l’édition en préparation finale, l’exposition Black history arts composée de dessins, peintures et photographies d’artistes tels qu’Orassio photographie, Scott Le Griyo, Mexhilus Ymc ; des conférences ; un concours d’éloquence en langue maternelle et la soirée Black history arts. «Au-delà de présenter le travail des artistes gabonais, le Festival se veut une voie d’apprentissage et de transmission à la jeunesse noire, particulièrement à la jeunesse gabonaise», estime Slam master.
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