Ce vendredi 17 décembre, le Conseil gabonais de chargeur (CGC) a sorti les petits fours pour célébrer ses 50 ans d’existence. Entre « avancées considérables » comme l’a souligné le ministre des Transports Brice Paillat, et « résultats très concrets particulièrement dans le développement du transport de marchandises » comme l’a pour sa part indiqué Pierre Moïse Mba son directeur général, le CGC a célébré son demi-siècle sous fond de perspectives encourageantes.
Protagoniste clé du commerce intérieur et extérieur du pays, le Conseil gabonais de chargeur (CGC) a célébré ses cinquante ans d’existence ce vendredi. Autour notamment des employés, des opérateurs économiques et du ministre des Transports, Brice Paillat, le directeur général du Conseil, Pierre Moïse Mba, a dressé le bilan de cet organe. Entre « avancées considérables » et « résultats très concrets particulièrement dans le développement du transport de marchandises », c’est un CGC plein de perspectives et de promesses après un demi-siècle.
« Acteur incontournable considéré comme l’un des bras séculiers de l’État au service des importateurs et exportateurs, et par ailleurs, au cœur du commerce extérieur et intérieur de notre pays », le CGC a su tisser sa toile dans « dans le panorama des acteurs et des intervenants de la chaîne de transports » comme l’a à juste titre rappelé Brice Paillat. Toute chose ayant grandement participé à « renforcer son positionnement grâce aux efforts consentis par l’ensemble de son personnel », a pour sa part déclaré Pierre-Moïse Mba.
Plus que jamais au service des opérateurs économiques qui ont par ailleurs rappelé la nécessité de fournir des statistiques sur les volumes de marchandises acheminés vers et depuis le Gabon, le CGC devra s’arrimer aux meilleurs standards internationaux afin « d’anticiper au mieux la croissance des échanges régionaux à travers la Zlecaf », dans le but de « de continuer à grandir, mais pas à vieillir malgré ses 50 ans » comme l’a conclu son directeur général.
Dans un environnement où les enjeux de concurrence et de consommation se placent plus que jamais au cœur du développement économique du pays, le Conseil gabonais de chargeur qui a « toute sa place dans l’économie nationale de façon générale » entend plus que jamais se montrer à la hauteur des défis qui lui seront proposés. Défis qui s’articulent pour les toutes prochaines années, autour des questions d’intégration régionale et sous régionale avec l’opérationnalisation de la Zlecaf.