Le Groupe BGFIBank conserve pour la deuxième année consécutive, sa note A+ et ses perspectives de stabilité positive. Sur le long terme, indique l’agence de notation Bloomfield Investment Corporation, cette note est un indicateur de la qualité de crédit élevée du groupe.
Les années se suivent et ressemblent pour BGFIBank en termes de performance et rentabilité. Le groupe bancaire a informé, le 1er décembre, qu’il conserve sa note A+ au terme d’une évaluation de l’agence de notation Bloomfield Investment Corporation. Cette notation a été effectuée sur la base des performances du groupe au titre de l’exercice 2020 ainsi que des perspectives d’activités au cours de l’exercice 2021.
Elle s’appuie notamment sur les facteurs clés de performance comme le renforcement continu du cadre de gouvernance et du dispositif de gestion des risques ; un bilan satisfaisant du plan d’entreprise ‘’Excellence 2020’’, traduisant globalement la bonne capacité à atteindre les objectifs ; une position dominante maintenue dans la zone Cemac malgré une légère contraction de ses parts de marché ; une bonne performance globale, malgré une contraction de son résultat net due à une stagnation des produits financiers ; une solidité financière qui se confirme, en dépit de la survenance de la crise sanitaire liée au Covid-19.
Selon Bloomfield Investment Corporation, cette note, à court terme, indique que le Groupe basé au Gabon présente «une certitude de remboursement en temps opportun élevée ainsi que des facteurs de liquidité forts et soutenus par de bons facteurs de protection». Sur le long terme, cette note est un indicateur de la qualité de crédit élevée du groupe. «Cette notation financière répond aux exigences d’excellence, de performance et de rentabilité du groupe, inhérentes à notre métier, qui guident depuis 50 ans le développement de notre banque», s’est félicité le Président directeur général (PDG) de BGFIBank. Une ambition que nous continuons de porter avec le déploiement de notre nouveau projet d’entreprise Dynamique 2025», a conclu Henri-Claude Oyima.