Quelques 450 soldats gabonais doivent quitter la Centrafrique et la Minusca suite à des accusations d’exploitation sexuelle et d’actes sexuels sur mineurs. Une trentaine d’actes délictueux en tout. L’ONU n’est pas satisfaite de l’absence d’enquêtes et du manque de résultats. Au Gabon, la société civile dénonce un camouflet pour le pays.
La décision de l’ONU provoque une certaine indignation sur les réseaux sociaux où l’on dénonce des comportements « honteux », « inadmissibles », « immoraux ». Mais elle n’a pas surpris au sein de la société civile, étant donné l’enchaînement des scandales touchant le contingent gabonais et le manque de réaction des autorités.... suite de l'article sur RFI