C’est une première, au sommet Afrique-France du 8 octobre prochain à Montpellier, dans le sud de la France : il n’y aura aucun chef d’État africain. Pourquoi Emmanuel Macron préfère-t-il dialoguer avec les sociétés civiles plutôt qu’avec ses homologues africains ? Au risque d’être bousculé par ces sociétés civiles sur des sujets comme l’axe franco-tchadien. Benoît Verdeaux a été le numéro 2 de l’Agence française de développement (l’AFD) en Côte d’Ivoire. Aujourd’hui, il est le secrétaire général du Sommet de Montpellier. À Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.... suite de l'article sur RFI