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La BAD lance une nouvelle initiative pour intégrer le capital naturel dans le financement du développement en Afrique
Publié le jeudi 2 septembre 2021  |  BAD/FAD
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© Autre presse par DR
Le Parc national de Pongara au Gabon
Photo: Un troupeau d`elephants
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Le Groupe de la Banque africaine de développement, la Plateforme des connaissances sur la croissance verte (GGKP) et d’autres partenaires lancent, le 9 septembre prochain, une nouvelle initiative sur l’intégration du capital naturel dans le financement du développement en Afrique.

Cette initiative, appelée Programme sur le capital naturel pour le financement du développement de l’Afrique (Natural Capital for African Development Finance, NC4-ADF), est soutenue par le Fonds mondial pour la nature (WWF), le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ) à travers son agence dédiée (Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit, GIZ), le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), la Fondation MAVA, l’Institut international pour le développement durable (IISD) ainsi que le partenariat Economics for Nature (E4N) qui vise à mettre le capital naturel au cœur des économies.

« La prise en compte du capital naturel dans le financement du développement est essentielle pour la reprise post-Covid-19, a déclaré Vanessa Ushie, directrice de la Division de l’analyse des politiques au Centre africain des ressources naturelles de la Banque africaine de développement. La Banque reconnaît que les approches fondées sur la nature sont essentielles pour lutter contre les urgences liées à la biodiversité et au climat. Elle déploie ses efforts pour intégrer le capital naturel dans le financement des infrastructures, les investissements et les politiques économiques en Afrique. »

Le capital naturel, qui comprend les sols ou les ressources de stockage de carbone comme l’eau et la pêche, représente entre 30 % et 50 % de la richesse totale des pays d’Afrique, bien que n’étant pas souvent pas pris en compte dans les mesures économiques comme le calcul du PIB. De plus, les institutions internationales de développement tiennent peu compte du capital naturel dans les projets de financement du développement. Face au changement climatique, ce capital présente des atouts essentiels pour favoriser une croissance inclusive et verte.
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