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6e rapport du GIEC : Ali Bongo s’inquiète d’un «emballement climatique»
Publié le mercredi 11 aout 2021  |  Gabon Review
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© Présidence par DR
Lancement du séminaire gouvernemental sur l`accélération de la transformation de l`économie du Gabon
Lundi 18 Janvier 2021. Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, a pris part, ce lundi à Libreville, au lancement du séminaire gouvernemental sur l`accélération de la transformation de l`économie du Gabon.
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Paru ce lundi 9 août, le premier volet du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) est jugé «très alarmant» par le président de la République qui invite une nouvelle fois ses homologues, en particulier ceux des pays industrialisés, à prendre des décisions fortes lors de la COP26 prévue en novembre prochain à Glasgow, en Écosse. Il craint des conséquences fâcheuses pour l’Afrique.

Le premier des quatre volets du rapport du GIEC, dont la rédaction a débuté en 2017-2018, a été publié dans la journée du lundi 9 août 2021. L’année prochaine suivront ceux axés sur «Les conséquences, adaptation et vulnérabilité» et «L’atténuation des changements climatiques avant «Le rapport de synthèse». Mais pour ce premier document qui se rapporte essentiellement aux bases scientifiques (physiques) du climat, Ali Bongo le juge déjà «très alarmant». D’autant qu’en substance, celui-ci établit clairement que toutes les régions du monde subissent déjà les effets du changement climatique, et l’activité humaine en est la principale cause.

Aussi, le président de la République pense-t-il que «nous sommes face à un risque d’emballement climatique aux conséquences incalculables pour notre planète et notre humanité». Il craint surtout pour l’Afrique qui, selon lui, «risque d’être frappée de plein fouet».

Seulement, Ali Bongo pense également qu’«il y a un espoir» : la COP26 prévue à Glasgow, en novembre prochain. Si le chef de file des négociateurs africains s’engage déjà à jouer son rôle lors de cette rencontre, il invite les dirigeants du monde à «un sursaut». Cette Conférence, lance-t-il, «doit nous permettre, à nous États, d’adopter des mesures inédites et vigoureuses».
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