Conférences budgétaires: Prisca Koho défend les investissements de son département ministériel

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Publié le mardi 10 aout 2021 | Gabon Media Time

© Autre presse par DR
La ministre des Droits de la femme ,Prisca Koho Nlend

La ministre des Affaires sociales et des Droits de la femme Prisca Koho Nlend a pris part ce vendredi 6 août 2021 aux conférences budgétaires. Occasion pour le membre du gouvernement de défendre les investissements en cours et à venir de son département ministériel notamment, le centre des enfants trisomiques ou encore le centre des enfants autistes.

Organisées par le ministre du Budget et des Comptes publics Sosthène Ossoungou ibangoye, les conférences budgétaires ont donné lieu au passage de plusieurs ministères à l’instar de celui des Affaires Sociales et des Droits de la femme ce vendredi 6 août. Au cours de cette séance de travail, Prisca Koho Nlend a procédé à la présentation Budgétaire de ses activités notamment sur le plan des investissements.

Lors de cette rencontre, le membre du gouvernement a mis en avant les différents projets initiés par son département au nombre desquels les centres sociaux dont le centre des enfants autistes, en cours de construction et dont la livraison est attendue au dernier trimestre 2021. Elle a également défendu le projet de construction du centre des enfants trisomiques qui a commencé à connaître un début de réhabilitation . « C’est une avancée significative, parce que ces deux centres ont un partenariat avec l’ambassade du Maroc et nous tenions à mettre un accent particulier sur l’accélération des travaux…pour que les enfants victimes de ces handicaps soient abrités quelque part… », a déclaré Prisca Koho Nlend

Par Ailleurs, le ministre n’a pas manqué de relever le pan Gabon égalité dont elle a à coeur et dont le ministère des Affaires sociales et des Droits de la femme porte 11 mesures. Elle a essentiellement souligné le début des travaux du centre d’accueil des femmes victimes de violence mais aussi la mise en place de l’observatoire des droits de la femme.

Esther Kengue

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