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Gabon: la CEEAC valide les projets de barrages hydroélectriques de Booué et Tsengué-Lélédi
Publié le lundi 2 aout 2021  |  Gabon Media Time
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© LaLibreville.com par DR
Le Gabon devrait bientôt compter un nouveau barrage hydroélectrique d`une capacité de 400 GW/h
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Réunis les 21 et 22 juillet derniers par visioconférence pour l’Atelier Régional de validation des Etudes d’Avant-Projet Détaillé (APD), d’Impact Environnemental et Social (EIES) et du Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES) d’aménagement des sites hydroélectriques de Booué et de Tséngué-Lélédi, les experts de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) et de la Banque africaine de dévelopemment (BAD), sont tombés d’accord sur les fondements de ces projets intégrateurs. C’est ce qui ressort du communiqué de l’institution régionale, publié le 25 juillet en marge de ces assises.

Un peu moins d’un mois après la signature d’un closing à 117,42 milliards de FCFA visant la construction du barrage hydroélectrique de Kinguele Aval, le Gabon devrait voir deux autres projets du même type se concrétiser. C’est ce que laisse penser la validation le 25 juillet dernier par les experts de la CEEAC, des études d’avant-projet détaillé (APD), d’impact environnemental et social (EIES) et du plan de gestion environnementale et sociale (PGES), des projets de barrages hydroélectriques de Booué et Tsengué-Lélédi.

En effet, financés par la Banque africaine de développement (BAD) et réalisées par le groupement ISL Ingénierie, Nespak, OIE, Gibb et Oréade-Brèche, ces études viennent donc faire prendre à ces deux projets identifiés comme « intégrateurs » et capables de soutenir le Programme Economique et Régional (PER) de la CEMAC, un tournant décisif. Toute chose qui, au regard de l’impact de ces projets énergétiques sur le développement, devrait renforcer l’idée d’une « accélération du développement de la Communauté d’ici 2025 ».

Concernant aussi bien le Gabon que le Cameroun, le Congo et la Guinée Equatoriale, ces deux barrages hydroélectriques viennent par ailleurs renforcer l’idée d’une plus grande intégration régionale en zone CEMAC. Une intégration qui, on le rappelle, reste le principal gage du développement d’une des régions les plus riches et les mieux pourvues du continent, comme en témoignent d’ailleurs les 60% du potentiel hydroélectrique qu’elle concentre.
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