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Fête des mères : La réflexion des ‘’Modernisatrices’’ sur la femme, son devoir et le Gabon
Publié le lundi 31 mai 2021  |  Gabon Review
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© Autre presse par DR
Fête des mères : La réflexion des ‘’Modernisatrices’’ sur la femme, son devoir et le Gabon
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Les femmes du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM) et leurs sœurs des partis politiques de l’opposition ont célébré, le 30 mai, la fête des mères. Une rencontre mise à profit pour réfléchir sur ce qu’«elles», femmes, doivent faire pour elles-mêmes et pour le Gabon.

A l’initiative des Modernisatrices (section féminine du Rassemblement pour la patrie et la modernité (RPM), les femmes des partis politiques de l’opposition ont célébré le 30 mai au siège dudit parti, la fête des mères. Loin du chronogramme habituel de réjouissance, ces dernières ont choisi de réfléchir et d’échanger, sur «la promotion de la participation des groupes généralement marginalisés et sur le rôle des femmes dans les partis politiques et leur circonscription électorale».

Ces échanges ont permis à ces actrices politique, dans leur rôle de mère, de s’arrêter un moment et regarder dans le rétroviseur pour constater que le corps social gabonais est en pleine dérive. Pour la déléguée nationale du mouvement des Femmes modernisatrices, Blandine Obone Ebang, la mère doit, plus que jamais, s’impliquer dans la prise en charge de notre destin commun.

«Si la politique, se comprend comme étant la gestion équilibrée de la cité, en vue d’un bien-être commun, alors la mère doit cesser d’être une spectatrice passive des situations déshumanisantes auxquelles nous faisons face au quotidien», a déclaré Blandine Obone Ebang, invitant les femmes à agir et à défendre ce qui est juste, défendre les intérêts communs pour préserver le vivre ensemble.

Présenté comme une occasion de s’outiller au regard des challenges politique, économiques et social qui se dressent devant elles, cette fête des mères offrait, selon la 4ème vice-présidente du RPM, Colette Metimbe Fady, l’opportunité de poser les jalons d’un mode de fonctionnement coordonnés sur les problèmes d’intérêts communs. «Il est connu de tous, que la femme a la responsabilité historique d’éduquer chaque être dès les tous premiers moments de sa vie. Fort de cela, nous devons initier des actions en vue de la refondation de la société gabonaise, tout en laissant chacune de nous garder son identité propre et son indépendance», a confié la 4ème vice-présidente du RPM.

Joignant l’utile à l’agréable, ces militantes de l’opposition se sont offert des présents en signe d’encouragement et de félicitation pour leurs responsabilités de mère, présentée comme une «vocation pleine d’amour, d’affection, de patience, d’abnégation, de bonheur et de souffrance».

«Si la politique, se comprend comme étant la gestion équilibrée de la cité, en vue d’un bien-être commun, alors la mère doit cesser d’être une spectatrice passive des situations déshumanisantes auxquelles nous faisons face au quotidien», a déclaré Blandine Obone Ebang, invitant les femmes à agir et à défendre ce qui est juste, défendre les intérêts communs pour préserver le vivre ensemble.

Présenté comme une occasion de s’outiller au regard des challenges politique, économiques et social qui se dressent devant elles, cette fête des mères offrait, selon la 4ème vice-présidente du RPM, Colette Metimbe Fady, l’opportunité de poser les jalons d’un mode de fonctionnement coordonnés sur les problèmes d’intérêts communs. «Il est connu de tous, que la femme a la responsabilité historique d’éduquer chaque être dès les tous premiers moments de sa vie. Fort de cela, nous devons initier des actions en vue de la refondation de la société gabonaise, tout en laissant chacune de nous garder son identité propre et son indépendance», a confié la 4ème vice-présidente du RPM.

Joignant l’utile à l’agréable, ces militantes de l’opposition se sont offert des présents en signe d’encouragement et de félicitation pour leurs responsabilités de mère, présentée comme une «vocation pleine d’amour, d’affection, de patience, d’abnégation, de bonheur et de souffrance».
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