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Moanda : Le projet ‘’Moanda Neurons Fight’’ présenté au maire du 1er arrondissement
Publié le jeudi 22 avril 2021  |  Agence Gabonaise de Presse
Moanda
© Autre presse par DR
Moanda : Le projet ‘’Moanda Neurons Fight’’ présenté au maire du 1er arrondissement
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Le maire du premier arrondissement de la commune de Moanda, dans le département de la Lébombi-Léyou dans la province du Haut-Ogooué (Sud-est), a échangé mardi avec le directeur provincial des Sports, de la Jeunesse, chargé de la Vie associative du Haut-Ogooué, autour d’un projet dénommé ‘’Neurons Fight’’ destiné à la jeunesse.

C’est en présence des chefs d’établissements primaires et secondaires du 1er arrondissement de la commune de Moanda, que le directeur provincial des Sports, de la Jeunesse, chargé de la Vie associative, Emery Elingui Ogandaga, est venu à la demande du maire du premier arrondissement, Jean Bruno Moutouboulou, présenté le projet ‘’Moanda Neurons Fight’’.

En effet, la jeunesse de la commune de Moanda, en particulier celle du 1er arrondissement, n’échappe pas à l’oisiveté. Cette dernière entraine l’adoption, par certains jeunes, d’activités nuisibles à leur développement, notamment la fréquentation des bars, la consommation des stupéfiants, le vol, le braquage, entre autres. Pour Jean Bruno Moutouboulou, ‘’il faut réfléchir comment occuper cette jeunesse’’, devenue la cible de plusieurs comportements déviants.

Ainsi, ce projet vient proposer un moyen d’occuper les jeunes par des activités favorisant le développement cognitif. Il s’agit d’organiser un tournoi intellectuel qui regroupera les établissements secondaires ou primaires dudit arrondissement.

D’après le directeur provincial des Sports, de la Jeunesse, chargé de la Vie associative, Emery Elingui Ogandaga, en termes de résultats attendus, plusieurs jeunes pourront être impactés par les messages de sensibilisation relayés durant chaque rencontre et ainsi rompre avec des comportements à risque.

«Nous avons mis en place un comité d’organisation qui va étudier la question et verra la faisabilité par rapport au calendrier scolaire et par rapport au moyen nécessaire à la mise en place ou à l’organisation de cette activité. Donc c’est ce comité qui va nous dire si par rapport au temps restant, entre autres, on devra la reporter pour l’année prochaine», a-t-il souligné à l’issue de la rencontre.

Nancy Tali Ibinda
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