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Logements : La SNI veut moderniser la gestion de la Cité Alhambra
Publié le mardi 23 mars 2021  |  Gabon Review
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© L'Union par DR
La Société nationale immobilière (SNI)
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Le directeur général de la Société nationale immobilière a visité le 21 mars à Akanda, les logements de la Cité Alhambra. Au cours de cette descente où il s’est agi de faire un état des lieux du site, Hermann Kamonomono a affiché sa volonté de moderniser la gestion de cette cité comptant 1095 logements.

Héritière de la Cité Alhambra, la Société nationale immobilière (SNI) a visité ce site de logements sociaux situé dans la commune d’Akanda, le 21 mars. «L’objet de la visite de ce jour était de faire un état des lieux, voir l’état dans lequel se trouve la Cité Alhambra aujourd’hui», a confié le directeur général de la SNI sur le site comptant 1095 logements.

«Étant donné que le gouvernement a décidé de céder la gestion de ce site à la SNI. Dans un premier temps, nous avons fait le tour du propriétaire pour identifier les grandes problématiques auxquelles les locataires sont confrontés, et envisager des pistes de solution. L’objectif étant la modernisation de la gestion de la cité. La seconde étape consistera à organiser le régime de location», a affirmé Hermann Kamonomono.

Sur le terrain, le patron de la SNI a pu échanger avec certains occupants qui se plaignent majoritairement des difficultés d’accès à l’eau et à l’électricité. «Nous pensons que la cité étant idéalement située dans une zone où il y a des facilités d’adduction en eau et électricité, cette problématique pourra être réglée très rapidement grâce au concours de la Société d’énergie et d’eau du Gabon, avec laquelle nous avons déjà eu des contacts. Dans les semaines à venir, nous allons accélérer sur ce dossier afin que chaque locataire de la cité dispose d’un branchement individuel en eau et électricité», a-t-il assuré.

Au-delà des difficultés autour de ces deux ressources vitales, Hermann Kamonomono et ses équipes ont également relevé d’autres problèmes tout aussi fâcheux. Il s’agit des branchements anarchiques de câbles de courant, inondations, dégradation progressive de certains cadres bâtis et conflits entre colocataires.
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