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Moanda : Fin des épreuves sportives du baccalauréat
Publié le samedi 1 juin 2019  |  Agence Gabonaise de Presse
BEPC
© Autre presse par DR
BEPC 2018 : Les candidats et les épreuves sportives
Les épreuves sportives du Brevet d’Etudes du Premier Cycle(BEPC), session 2017-2018 ont débuté depuis deux semaines déjà. Les candidats à cet examen ont pris rendez-vous à l’Institut Immaculé de Libreville ,ce vendredi 18 mai 2018.
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Durant quatre jours successifs, du 27 mai au 30 mai dernier, dans l’enceinte du lycée Henri Sylvoz, les candidats au baccalauréat session 2018-2019 des établissements scolaires de Moanda ont été évalués dans les différentes disciplines d’Education Physique et Sportive (EPS).

Les deux premiers jours étaient réservés aux 218 candidats des lycées Rose Massombo, Saint Dominique, Henri Sylvoz, Augustine Nyangui et les Aiglons. Tandis que les deux derniers jours ont permis d’évaluer les candidats du Lycée Rigobert Landji, plus de 300 candidats.

Pour les deux groupes, les candidats ont débuté par les sauts, les courses, la gymnastique et les lancés. Les derniers jours ont servi aux jeux collectifs.

Pour certains de ces élèves, le stress était certes au rendez-vous, mais il a fallu s’efforcer de donner le meilleur, pour espérer être bien noté. Les examinateurs de leur côté étaient à leur poste, pour les différentes disciplines.

«Tout se passe bien. Le niveau est assez appréciable. Il faut tenir compte du fait que certains établissements sont dépourvus de structures sportives adéquates pour l’entrainement. Nous évaluons les performances. Plus tard au niveau du secrétariat, nous aurons à transformer ces performances en notes», a indiqué le responsable du secrétariat du premier groupe des candidats, Faustin Koukpode.

L’Harmonisateur principal, Mve Nguema a renchéri sur le problème d’équipement du service médical qui, quoique présent, ne dispose presque pas de matériel de secours adapté pour la circonstance.

«Cette année par exemple nous avons eu un cas de déchirure au niveau de Libreville. Pour dire qu’il est important que l’unité médicale qui participe aux épreuves sportives soit bien équipée. Nous avons souvent été obligés de se cotiser pour répondre à un cas d’urgence», a-t-il fait savoir.

Nancy Tali Ibinda
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