7 chefs d’Etat dont Ali Bongo attendus à Kigali pour la BAD #aLibreville

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7 chefs d’Etat dont Ali Bongo attendus à Kigali pour la BAD

Publié le mercredi 21 mai 2014 | Gabon Actu

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Le président Ali Bongo Ondimba a pris part au 3ème sommet mondial sur la sécurité nucléaire tenu à la Haye au Pays-bas les 24 et 25 mars 2014

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Démarrage des travaux des Assemblées annuelles de la BAD au Rwanda

- 20/5/2014

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Activités des organisations internationales (BAD, ONU, FMI, Banque Mondiale, etc.)

Kigali, Rwanda (Gabonactu.com) - Quelques sept chefs d’Etat africains dont Ali Bongo Ondimba du Gabon sont attendus à Kigali pour les Assemblées annuelles de la Banque Africaine de développement (BAD), a-t-on appris auprès du comité d’organisation.

Le numéro un gabonais pourrait fouler le sol rwandais mercredi, selon une source bien informée. Comme ses homologues, il prononcera un discours et participera aux réunions à huit clos.

Le gouverneur de la Banque centrale de Chine est l’un des invités vedettes attendus à cette rencontre ainsi que l’adjoint au trésor des USA.

« Il est possible que la Chine fasse des grandes annonces lors de cette rencontre », a affirmé Joel Kibazo, Directeur de communication et des relations extérieures, Groupe de la Banque africaine de développement.
Les Assemblées de la BAD se tiennent au moment où la banque célèbre ses 50 ans d’existence et de contribution au développement de l’Afrique. Le thème de cette commémoration est « Les 50 années à venir : l’Afrique que nous voulons ».

Selon un rapport publié lundi dans le cadre de ces réunions, l’Afrique connaîtra une croissance économique accélérée en 2014 (4,8%) puis 5 à 6% en 2015.

« La croissance économique du continent devrait s’accélérer à 4,8% en 2014 pour atteindre 5 à 6% en 2016 », précise Mario Pezzeni, Directeur du Centre de développement de l’OCDE, un des principaux rédacteurs de ce rapport conjoint entre l’OCDE, la BAD et le PNUD.

Ce sont « des niveaux jamais atteints depuis la crise économique mondiale de 2009 », poursuit l’expert.

Le rapport salue une croissance économique diversifiée, tirée par la demande intérieure, les infrastructures et des échanges de produits manufacturés de plus en plus soutenus à travers le continent.

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