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Obsèques d’Edouard Valentin : Ali Bongo n’y est pas !
Publié le dimanche 3 fevrier 2019  |  Gabon Review
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© Autre presse par DR
Le président Ali Bongo leur de ses vœux télévisés aux Gabonais le 31 décembre 2018
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En convalescence à rabat au Maroc, le président de la République n’a pas pu se rendre ce samedi 2 février à Montpellier pour les obsèques de son beau-père. Il est représenté par de nombreuses autres personnalités politiques gabonaises, dont le Premier ministre Julien Nkoghe Bekale.

Alors que ce samedi s’annonce une nouvelle fois mouvementé comme les 11 précédents, notamment avec la manifestation des «gilets jaunes», la ville de Montpellier a accueilli de nouveau visiteurs depuis vendredi. Il ne s’agit pas d’un renfort de manifestants, mais d’un groupe de plusieurs personnalités politiques gabonaises, en tête desquelles Julien Nkoghe Bekale. C’est, en tout cas, ce que croit savoir le site de l’hebdomadaire français Métropolitain.

Selon le site du Midi Libre, le chef du gouvernement gabonais est arrivé à Montpellier vendredi pour les obsèques d’Edouard-Pierre Valentin, le père de Sylvia Bongo, décédé le 28 janvier à 80 ans. Il représente le gouvernement gabonais dans le cadre de la cérémonie religieuse de ce samedi depuis 10 heures en la cathédrale Saint-Pierre de Montpellier. En convalescence à rabat au Maroc, Ali Bongo s’est fait représenté par sa sœur aînée Pascaline Mferri Bongo.

Pour représenter le président de la République, plusieurs autres personnalités gabonaises sont présentes à ces obsèques. L’on cite, entre autres, la présidente du Sénat Lucie Milebou-Mboussou, le président de l’Assemblée nationale Faustin Boukoubi, la présidente de la Cour constitutionnelle Marie Madeleine Mborantsuo, et membres du gouvernement : Francis Nkea Nzigue, Denise Mekam’ne Edzidzie et Rose Christiane Ossouka Raponda.

Si la presse française évoque la mise en place d’«un important dispositif de sécurité sur un vaste périmètre autour de la cathédrale», c’est parce que d’autres invités, moins désirables ceux-là, étaient déjà annoncés la veille : les «résistants» gabonais, qui contestent depuis 2016 la réélection d’Ali Bongo.
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