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Le chef de l’ONU qualifie la Déclaration universelle des droits de l’homme d’un flambeau mondial
Publié le mercredi 12 decembre 2018  |  Xinhua
Antonio
© Autre presse par DR
Antonio Guterres, haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés ( HCR)
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A l’occasion du 70e anniversaire de l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi ce document, le qualifiant d’un flambeau mondial de la dignité.

"Durant 70 ans, la Déclaration universelle des droits de l’homme a rayonné comme un phare dans le monde, mettant en lumière la dignité, l’égalité et le bien-être, et suscitant de l’espoir dans les lieux les plus sombres", a déclaré M. Guterres dans un message publié à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme, qui commémore l’adoption de cette déclaration.

Le chef de l’ONU a rappelé que les droits proclamés par cette déclaration s’appliquent à tous, indépendamment de la race, des croyances, du lieu géographique ou de toute autre distinction quelle qu’elle soit.

Le secrétaire général a également appelé à honorer les défenseurs des droits de l’homme qui risquent leur vie pour protéger autrui face à la montée de la haine, du racisme, de l’intolérance et de la répression.

"Maintenant plus que jamais, notre devoir commun est clair : nous devons défendre les droits de l’homme pour chacun et partout", a-t-il déclaré, tout en soulignant que les droits de l’homme étaient attaqués partout à travers le monde.

La Déclaration universelle des droits de l’homme a été adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU en tant que Résolution 217 au cours de sa troisième session, le 10 décembre 1948 à Paris. Elle est aujourd’hui le document le plus traduit au monde, et est disponible dans plus de 500 langues.

Le texte consiste en 30 articles interdisant notamment l’esclavage et la servitude, les mariages forcés, les arrestations arbitraires, ou encore les ingérences dans la correspondance et la vie privée.

Bien que n’étant pas juridiquement contraignants, ces 30 articles ont servi de base à de nombreux traités internationaux, transferts économiques, outils régionaux de défense des droits de l’homme, constitutions nationales et autres lois.
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