Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Annonces    Femmes    Nécrologie    Publicité
NEWS
Comment
Accueil
News
Politique
Article
Politique

Crise politique : Une plateforme associative appelle à la Réconciliation Nationale
Publié le mercredi 27 decembre 2017  |  Gabon Actu
Crise
© Autre presse par DR
Crise politique : Une plateforme associative appelle à la Réconciliation Nationale
Comment


Libreville – Le président de la Concertation de la jeunesse gabonaise (CJGA), une plateforme des mouvements associatifs des jeunes, Rodrigue Maîssa Nkoma a appelé mardi dans un point de presse à Libreville, la classe politique à une Réconciliation Nationale pour dit-il mettre définitivement un terme à la crise politique que connait le Gabon depuis l’élection présidentielle tumultueuse du 27 août 2016.

« Au nom de la jeunesse gabonaise, monsieur le Président de la République, très chers ainés des groupements politiques de l’opposition et de la majorité, très chers jeunes et vous nos mamans, nos sœurs, nous vous appelons à la réconciliation nationale », a lancé M. Maîssa Nkoma, estimant que la réconciliation et la seule voie de sortie de crise latente sévissant dans le pays depuis plus d’un an.

Pour matérialiser à sa manière cette réconciliation nationale, la CJGA a présenté au nom de la jeunesse gabonaise un « pardon national ». Par ce geste symbolique, la plateforme fait sienne toutes les déviances observées par les jeunes (opposition et majorité) durant la période électorale.

Rodrigue Maîssa Nkoma a également annoncé une mini caravane de son mouvement le 30 décembre prochain dans les domiciles de certaines plus hautes autorités et hommes politiques du pays dans les prochains jours. L’objectif visé par la CJGA est celui de « présenter les vœux les meilleurs pour 2018 pour la réconciliation nationale, tout en remettant comme un cadeau symbolique un extincteur, ceci à titre préventif et sécuritaire pour un apaisement effectif ».

La caravane de la CJGA pourrait s’ébranler dans la résidence du Président Ali Bongo et de son farouche opposant Jean Ping.

Camille Boussoughou
Commentaires


Comment