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Congrès du PDG : Les travaux en commission avant le rapport général
Publié le lundi 11 decembre 2017  |  Gabon nouvelle vision
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© Présidence par DR
1e Congrès ordinaire du Parti démocratique gabonais (PDG)
Vendredi 8 décembre 2017. Libreville. Placé sous le thème « Régénération et revitalisation », le 11e congrès ordinaire du Parti démocratique gabonais (PDG) s’est ouvert au stade de l’amitié d’Angondjé en présence du Distingué camarade Président Ali Bongo Ondimba.
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Les deux premiers jours du 11e Congrès du PDG ont été consacrés aux travaux en commission. En attendant le rapport général qui intègre l’ensemble des recommandations attendu ce 10 décembre 2017.

Après la phase protocolaire d’ouverture, dans la matinée du 8 décembre 2017, le 11e congrès ordinaire du Parti démocratique gabonais (PDG) s’est poursuivi avec les travaux au sein des six commissions. La première, axée sur la politique générale et le cadre institutionnel a analysé le contexte politique dans lequel évolue le PDG. La deuxième, qui travaillait sur les rapports entre le PDG et les autres partis politiques du Gabon, a redéfini les relations qui doivent désormais prévaloir.

La troisième commission avait pour travail de proposer des mécanismes innovants de mise en œuvre de la politique sociale du gouvernement, puisqu’elle travaillait sur la politique économique, sociale, culturelle et environnementale. Quant à la quatrième, penchée sur la problématique du financement du PDG, devait suggérer de nouvelles formes de financement, notamment la création des unités productives.

S’agissant de la cinquième, communication et marketing, elle a proposé de nouvelles stratégies dans ce domaine pour élargir la base du PDG et fidéliser les militants. Enfin, la sixième commission consacrée aux rapports entre le PDG et la diaspora gabonaise a fait des suggestions afin de les améliorer.

Samedi 9 décembre 2017 a été marqué par la visite d’Ali Bongo Ondimba, président du PDG, au village du congrès, après avoir constaté le déroulement des travaux au sein des commissions. À la commission n°1 par exemple, un compte-rendu des premières heures de travaux lui a été fait par le président Michel Essongue. « Votre discours à l’ouverture de ce 11e congrès nourrit nos travaux tellement vous y avez exprimé des choses fortes que nous sommes amenés à faire pour notre parti parce que son avenir et celui du pays en dépend », a-t-il affirmé au président du PDG.

De façon concrète, ils ont procédé aux comptes rendus des différents rapports des conseils provinciaux pour faciliter les débats. « Mais, nous sommes revenus sur un certain nombre de sujets », a-t-il précisé. Notamment, le problème de formation des militants et des cadres du PDG en termes de formation initiale, formation continue, séminaire. Mais aussi, la préservation du Centre universitaire d’étude politique et de développement (CUSPOD) de cette formation politique. Un autre a été la liberté des militants. « Les congressistes ont l’impression que les militants ont tendance à être rattachés non pas au parti mais à des personnalités de notre parti », a-t-il déclaré signifiant qu’il s’agit de les affranchir de ces personnalités.

Un sujet a été au centre des débats, c’est le mode de désignation des responsables. Election ou nomination ? La problématique a été abordée, et les participants sont même allés plus loin. « Les congressistes ont suggéré que le secrétaire général du parti soit aussi désigné par élection mais ça n’a pas été adopté, ça été dit », a indiqué Michel Essongue. « Nous avons expliqué qu’il y a des organes délibérants qui évidemment sont soumis à un choix par le vote et les organes exécutifs qui relèvent du pouvoir de nomination du Distingué camarade président », a-t-il poursuivi.
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