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Justice : Rentrée judiciaire au Gabon le 2 octobre 2017
Publié le samedi 30 septembre 2017  |  Gabon Media Time
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© Autre presse par DR
Justice : Rentrée judiciaire au Gabon le 2 octobre 2017
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La cérémonie prévue au Palais de justice de Libreville sera présidée par le président de la République.

Mardi 2 octobre 2017, le Palais de justice de Libreville sera le théâtre de la rentrée judiciaire au Gabon. Une audience solennelle, ouverte au public, sera présidée par Ali Bongo Ondimba, président de la République et président du Conseil supérieur de la magistrature.

Cette nouvelle rentrée judiciaire arrive un mois après l’ouverture de la session du Conseil supérieur de la magistrature, effectuée le 7 septembre 2017, au cours de laquelle président Ali Bongo avait décrié les travers des magistrats, juges et autres auxiliaires de justice.

« Les attentes du peuple gabonais, au nom duquel la justice est rendue, demeurent insuffisamment satisfaites. Le magistrat doit être un homme libre au service du droit et de l’Etat. Mais cette liberté ne saurait être la licence », avait dénoncé le président de la République. Ces tares, avait-il déploré, rabaissent le rôle de la justice dans la consolidation d’un Etat de droit comme le Gabon : « la mauvaise tenue, l’agitation et tous les autres comportements déviants vous affaiblissent, affaiblissent la Justice et déstabilisent l’édifice de l’Etat de droit ».

Outre le discours du président Ali Bongo, on attend celui de Gilbert Ngoulakia, premier président de la Cour des comptes, représentant du corps judiciaire pour le compte de l’exercice 2017-2018. D’autres personnalités comme le bâtonnier de l’Ordre des avocats du Gabon, Me Jean Pierre Akumbu M’Oluna, vont également prendre la parole.

Cette rentrée judiciaire sera la première du nouveau ministre de la Justice, Garde des sceaux, Francis Nkea Nzigue, avocat de formation, nommé le 21 août dernier, en remplacement d’Alexis Boutamba Mbina.

En dehors de l’éthique et de la déontologie, certains intervenants ne manqueront pas d’évoquer les difficultés rencontrées par les membres du corps judiciaire. L’on se rappelle en effet les mouvements sociaux du Syndicat national des magistrats du Gabon en février, puis mai 2017. Ni la grève du Syndicat national des greffiers entre décembre 2016 et janvier 2017.


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