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Football: mondiaux en Russie et au Qatar, l’ombre de la corruption plane sur la Fifa
Publié le mercredi 9 avril 2014   |  Jeune Afrique


Trinidadien
© Autre presse par DR
Trinidadien Jack Warner, ancien vice-président de la Fédération internationale de football association (Fifa)


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Pour obtenir l'organisation de la compétition en 2018 et en 2022, la Russie et le Qatar ont-ils soudoyé des membres du comité exécutif de la Fifa ? Certains l'affirment et réclament des sanctions exemplaires. Ont-ils la moindre chance d'être entendus ?

Avec le Trinidadien Jack Warner (71 ans), le présent ressemble souvent au passé. L'ancien vice-président de la Fédération internationale de football association (Fifa) a, le 17 mars, de nouveau été mis en cause par le Daily Telegraph, le quotidien britannique qui l'accuse d'avoir indûment touché une somme de 1,68 million d'euros : 860 000 euros pour lui, 538 000 euros pour l'un de ses fils et 287 000 euros pour un employé de sa compagnie. Coïncidence ? Ces versements ont eu lieu peu de temps après l'attribution au Qatar, le 2 décembre 2010, de la Coupe du monde 2022...

Les faits rapportés par le Daily Telegraph n'ont pas surpris ceux qui suivent de près les affaires de la Fifa : l'âpreté au gain de Warner est de notoriété publique. "Il est ouvert aux magouilles", confirme Jean François Tanda, un journaliste suisse d'origine angolaise travaillant désormais à Blick, un quotidien de langue allemande dont le siège est à Zurich. L'argent a été versé par Kemco Group, la société qatarie, dont le propriétaire n'est autre que Mohamed Ibn Hammam, autre ancien vice-président de la Fifa. "Il s'agit peut-être de business entre les deux hommes, via leurs sociétés respectives, commente Tanda. C'est en tout cas ce qu'ils affirment. Et, de fait, rien ne dit qu'il y a un lien avec le foot et l'attribution de la Coupe du monde au Qatar." D'autant que, selon plusieurs observateurs, Warner aurait donné sa voix non à l'émirat, mais aux États-Unis. Mais on ne prête qu'aux riches... Car ce n'est certes pas la première fois que Warner est soupçonné d'avoir vendu son vote lors du scrutin du 2 décembre 2010.
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