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PIQAC : à quoi sert la normalisation ?
Publié le mardi 24 janvier 2017  |  Gaboneco
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Le Programme Infrastructure Qualité de l’Afrique Centrale (PIQAC) organise depuis hier lundi 23 Janvier 2017 une formation dont le thème est « Normalisation : son apport dans l’infrastructure qualité nationale ». Animée par une experte internationale (ONUDI), Marie-Christine Radonde Payen, ladite formation ambitionne de faciliter la compréhension du processus normatif, mais aussi de montrer le rôle des organes chargés de l’élaboration des normes au sein de l’organisme de normalisation.
Il a été question lors de cette première journée de formation, de présenter aux participants les objectifs et les principes généraux de la normalisation. En effet, la formation est axée sur la promotion de la qualité. Une formation destinée aux structures de normalisation, autorités publiques et privées, organismes d’évaluation de la conformité et membres de la société civile. Les formateurs veulent ainsi faire prendre conscience à tous les participants de l’importance de la qualité et de la protection des consommateurs au niveau national et régional. Pour répondre à la question « la normalisation à quoi ça sert ? », Marie-Christine Radonde Payen, experte internationale qui dirige cette formation, explique que « la normalisation est une activité propre à établir, face à des problèmes réels ou potentiels des dispositions destinées à un usage commun et répété, visant à l’obtention du degré optimal d’ordre dans un contexte donné. Cette activité concerne en particulier la diffusion et la mise en application des normes ».

Bon à savoir la norme est un outil de mesure, et la normalisation est au cœur de l’activité. Ainsi, la qualité et la sécurité, la mise en conformité avec la réglementation, le développement des marchés, et le transfert de technologie donnent confiance aux consommateurs et aux prescripteurs. Un des participants au séminaire, BALLA Yves-Henry, Chef de service Norme et laboratoire à la Direction Générale de pêche et d’aquaculture, donne ses impressions après la présentation de cette première journée. « Je retiens au sortir de cette formation que la norme est un élément essentiel, car elle permet de régler et de standardiser les normes d’une structure. Mon souci est celui de l’application de ces normes par l’Etat gabonais », a-t-il déclaré. Rappelons-le, le Gabon fait partie des sept pays de l’Afrique Centrale, (Ndlr : Cameroun, la république Centrafricaine, la république du Congo, la république démocratique du Congo, le Tchad, et Sao Tome et Principe), ayant bénéficié de ce programme.

Marielle Ilambouandzi
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