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Logements sociaux : Nouvel ultimatum aux squatters d’Angondjé-Bikélé
Publié le mercredi 30 novembre 2016  |  Gabon Review
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© Autre presse par DR
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Les occupants illégaux des logements sociaux d’Angondjé et Bikélé se sont vus accordés quelques jours supplémentaires pour vider les lieux.

Fixé au 15 novembre dernier, l’ultimatum aux occupants illégaux des logements sociaux d’Angondjé et Bikélé a été prolongé. C’est du moins ce qu’a affirmé le vice-Premier ministre en charge de l’Habitat et du Logement, le 28 novembre dernier à Libreville, lors d’une rencontre avec les principaux concernés.

«Le principe de ce report est acquis. Les occupants illégaux auront donc jusqu’à la fin du mois de novembre-début décembre, pour quitter Angondjé et Bikélé», a affirmé Ben Moubamba, soulignant qu’à l’issue de la signature d’un arrêté y afférent, des mesures d’accompagnements seront mis en place pour les départs volontaires.

«Nous allons accompagner les départs volontaires. Dans ce sens, il y a déjà des départs volontaires que nous tenons à saluer. Dans ces départs, il y a celles et ceux qui sont désormais prioritaires dans le cadre de la régularisation à suivre ces départs volontaires», a déclaré vice-Premier ministre en charge de l’Habitat et du Logement.

Par ailleurs, Ben Moubamba a lancé un appel aux ayant-droits des logements sociaux recensés au nord de Libreville. «Les ayant-droits qui n’auront pas rempli les conditions nécessaires de réacquisition de ces logements sociaux, perdront automatiquement le bénéfice de ces biens qui seront réaffectés à ceux qui en font la demande de manière légitime», a-t-il conclu.

Rien n’a cependant filtré sur le prolongement de l’ultimatum accordé aux squatters. Le vice-Premier ministre aurait-il mis de l’eau dans son vin ? Peut-être bien. D’autant que début novembre, ce dernier était catégorique : «Après le 15 novembre, nous pourrons intervenir à tout moment. Je prends mes responsabilités. Je ne reculerai pas. Que chacun prenne ses responsabilités, en commençant à vider les maisons. Il faut que la loi s’applique, il faut partir», avait-il lancé.
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