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Dialogue national : Pourquoi Ndemezo’o dit oui ?
Publié le mercredi 26 octobre 2016  |  Gaboneco
René
© Autre presse par DR
René Ndemezo’Obiang, ancien ministre des Sports au président équato-guinéen
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Le président du parti de l’opposition, Démocratie Nouvelle, René Ndemezo Obiang, a réaffirmé lors d’une conférence de presse organisée le 25 octobre à la Chambre de commerce de Libreville, son accord à la participation au dialogue national, souhaité par Ali Bongo Ondimba. Seule voie de sortie, selon lui, pour éviter une guerre civile au Gabon et lui permettre de vivre l’alternance politique et démocratique.

« Le Gabon ne va pas s’arrêter, le Gabon va continuer de vivre. C’est donc fort de cela que nous fils de ce pays devront nous asseoir pour discuter dans le but de rechercher des voies et moyens permettant d’initier et d’imposer des réformes devant rendre plus crédibles et plus transparentes les élections à venir », ainsi parle le président de Démocratie Nouvelle.

Pour L’ancien député de la ville de Bitam, le dialogue est vital pour le pays. Mieux, il sera loin d’être une sinécure. « Il s’agit de poser les bases pour un nouveau Gabon qui engage les générations futures. Le dialogue politique national qui va mettre autour d’une même table les représentants du pouvoir établi, ceux de l’opposition ainsi que ceux de la société civile pour sortir le Gabon de la crise qui l’accable ».

Le dialogue qui doit aider le Gabon à aller de l’avant doit se faire sous le contrôle de la communauté internationale. « Il y a un tas de conditionnalité que nous devons poser. Nous sommes pour le dialogue mais avant tout un ensemble de principes doit être mis en place. Il faut définir le contenu du dialogue », soutient l’ancien directeur de campagne de Jean Ping avant de rajouter « L’opposition ne doit pas aller aux élections législatives avec les mêmes textes. Il faut les changer, sinon la Cour constitutionnelle va toujours donner la majorité de voix au parti au pouvoir ».

C’est pourquoi René Ndemezo’o Obiang invite le pouvoir en place à mettre fin à la chasse aux sorcières et libérer les nombreux militants arrêtés lors de la crise post-électorale.

YAO
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